|
roman
Le
roman est illustré de quarante photographies noir et blanc prises
par l'auteur. |
|
|
||
|
roman
|
|
Quel que soit le médium auquel il s'intéresse, Rober Racine le réinvente pour en tirer quelque chose qui brille avec tout l'éclat de ce qui est radicalement neuf. Les Vautours de Barcelone, sans doute son uvre littéraire la plus accomplie à ce jour, est une étonnante méditation sur la création, le tragique, la place de l'homme dans le cosmos. C'est surtout une célébration de l'art sous toutes ses formes, et un hommage poignant à l'uvre du compositeur Claude Vivier, dont la musique et le destin hantent le roman. "L'art
de Rober Racine est souverain. Une intelligence supérieure y
est certainement pour quelque chose, mais il faut plus : une culture
qui embrasse tous les domaines de la connaissance, une dramaturgie qui
construit et ordonne rigoureusement les rapports entre l'imaginaire
et le réel. "
Les Vautours de Barcelone compose une mécanique romanesque, sinon
parfaitement huilée, à tout le moins étonnante
et ample comme une immense caisse de résonance. Une histoire
de création et de destruction. " "
L'écriture, c'est la colonne vertébrale de ma vie " Rober Racine et Les Vautours de Barcelone |
||
![]() |
roman
|
|
Voici un livre qui amène le lecteur radicalement ailleurs. Comme dans chacune de ses uvres, quel que soit le médium musique, arts visuels qu'il choisit d'utiliser, Rober Racine, avec une infinie liberté et une prodigieuse invention, transgresse toutes les règles pour en tirer des effets « inouïs ». Dans
L'Ombre de la Terre, ce sont les voyages Apollo qui servent
de point d'appui à son imagination poétique. Ce roman, que
baigne une lumière irréelle et qu'habite une sourde violence,
dit de manière poignante cette attirance pour la disparition et
l'infinie solitude que l'on ne peut manquer d'éprouver quand on
sonde les immensités glacées du cosmos. |
||
![]() |
Théâtre
|
|
Depuis toujours, Oxymoron collectionne les collectionneurs, les hommes et les femmes. Il acquiert ceux et celles qui ont possédé, contemplé, incarné les chefs-d'uvre, les phénomènes naturels, les événements extraordinaires, uniques. La pièce maîtresse d'Oxymoron est Gabriella, la plus grande interprète des madrigaux de don Carlo Gesualdo, prince et compositeur italien du XVI'siècle. Le
plus musical sans doute de tous les textes de Rober Racine, cette cantate
à deux voix est portée par un lyrisme envoûtant. |
||
|
||
![]() |
Roman
|
|
On appelle ce lieu The Lightning Field, une uvre de l'artiste Walter de Maria. Quatre cents tiges d'acier plantées dans le sol, réparties à égale distance sur un mille carré dans un désert du Nouveau-Mexique, attendent la foudre et de rares visiteurs. Odile est astronome. Elle a 44 ans. Elle part à la rencontre de son amie Marie, géologue. Après une séparation de trois années, Marie lui donne rendez-vous dans le désert, un soir de pleine lune, pour célébrer ses 40 ans. C'est l'histoire d'une rencontre. Le Ciel et la Terre. L'amour et l'amitié. Là-bas, tout près. |
||
|
||
![]() |
suivi de
La musique des mots (partition musicale et CD) Le 29 octobre 1979, Rober Racine a eu l'idée de créer un parc de la langue française. Un parc public, installé en permanence, où tous les mots et leurs définitions, imprimés sur de petits panneaux, seraient plantés au sol, paysagés en harmonie avec la nature avoisinante, répartis en quartiers de mots, de A à Z. En somme, faire du dictionnaire un lieu géographique où la lecture de chacun devient un parcours. Le Parc de la langue française n'existe pas encore, mais il a été le point de départ de quatre uvres, exposées dans divers musées et galeries d'art : Le Terrain du dictionnaire A/Z , Les Pages-Miroirs, Les Phrases harmoniques et La Musique des mots. |
|
Dans Le Dictionnaire, l'auteur fait le récit de sa traversée du Petit Robert. Durant vingt ans, l'artiste et écrivain a transcrit à sa manière un texte « à la fois magique et maléfique ». Cette lecture solitaire du dictionnaire se termine au piano où l'auteur interprète pour la première fois La Musique des mots, signalant ainsi que « la langue française est en la ». Un disque compact rend compte de cette expérience. L'historienne de l'art Danielle Legentil signe la préface du livre. |
||
|
||
![]() |
Roman Assailli
par des voix incandescentes, Studd souffre de la
|
|
|
||
|
||
|
||
AUTRES ÉCRITS DE L'ARTISTE Je
lis Sénèque et dessine des vautours Fantasmes
fragiles , Racine, Rober ; Déry, Louise ; Bélisle, Julie
; Galerie de l'université du Québec à Montréal,
Québec, 2005. pp. 37-59 La
Transfiguration de Clarice Aquino Je serai un incident, un délai Fiction 2002 Lignes de Métro, sous la direction de Danielle Fournier et Simone Saurens, VLB éditeur et l'Hexagone, Montréal, 2002, pp.165-171. Les
Yeux nus Le
Cur du baiser La
dernière installation |
||